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Oh une petite cousine ! J’ai eu mon tout nouveau poste à Poudlard. Je viens tout juste de voir mes appartements là-bas. J’ai aussi eu droit à une petite visite de l’école. Pour le moment, je me dis qu’il faut bien que je prépare mes cours. Je descends patiemment de ma tour. C’est littéralement le cas vu que mes cours sont juste en-dessous. Je comprends qu’il faut sans doute que je fasse attention, mais bon, je réalise qu’il est bien aussi que je me bouge un peu pour faire mes cours. Dans mes appartements, je me prépare. J’ai mon collier amérindien autour du cou. Il est en argent, je sais que je dois faire attention à ne pas me transformer en louve en plein cours. Je prends le temps aussi de faire tous mes exercices pour que je puisse rester humaine, enfin sorcière. Je suis devant les photos de mes parents et de ma grand-mère. Je les observe doucement, j’essaye de faire tout comme il faut. Je dois d’ailleurs voir Dumbeldore afin de pouvoir lui en parler. Je dois prendre mes précautions si je me trouve à l’école. Je sais que je dois faire attention, je me demande bien comment est-ce que je dois faire pour ne pas paniquer. Je n’ai pas enseigné depuis un long moment, je me demande d’ailleurs, si je vais être capable de le faire. Tout en descendant de ma tour, je commence alors mon cours une fois que mes élèves soient là. Je les regarde tous, je me présente alors patiemment : « Bonjour, je suis votre toute nouvelle professeur de divination. Je me nomme Tala Wolf, et je viens des Etats-Unis. » Je commence alors mon cours en sachant que l’une de mes petites cousines Cléo est dans le coin. Elle est dans ma salle de cours, je ne l’ai pas vu encore, je sais juste qu’elle a ce nom de famille. Je me demande bien comment est-ce qu’il faut que je fasse pour la voir après. Mais bon, je trouverais bien une idée d’ici-là. Je présente mon cours, j’explique, je réponds aux questions, je tente de donner des explications plausibles. Je me demande d’ailleurs comment est-ce que je vais faire pour continuer. Mais bon, j’y arrive, mon pendentif en argent me calme, il m’empêche de me transformer si j’ai un souci. Cela me rassure, mais bon, je trouve que pour l’instant, je peux avant toute chose finir mon cours et voir si ma petite cousine va venir me parler. Je range mes affaires, bien qu’il s’agisse de ma salle. Une petite voix me parle, je tourne la tête, et je vois une jeune étudiante devant moi. © Kimiko |
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Oh, une petite cousine !
Bien que ça fait ma cinquième année que je suis à Poudlard, avec mes amis, nous avons fait partir le professeur de divination l'année dernière, on n'en pouvait plus d'elle, elle était comment dire... stressante et ennuyeuse. Mais bon, à cause de ça, nous avons perdu des points dans notre maison de Serpentard, donc cette année ce serait surement pas la même chose, nous resterons surement plus calme, pour enfin éviter de se faire crier dessus par notre directeur et autres élèves.
Aujourd'hui, voilà que le cour de divination commence, j'appréhendais le ou la professeur qu'on allait avoir. M'asseyant tout en haut pour être à la bonne hauteur pour la voir et pour montrer que les Serpentard son mieux que les Griffondor, je regarde la professeur au bureau. Celle-ci ne mettais pas inconnu, du moins, elle me disait quelque chose mais, qui... Entendant son nom quand celle-ci se présente. Je hausse les sourcil et croise les bras. C'était une Wolf, même nom que moi. Qui était-elle ? Mes amis autour de moi me regarde et se demande quoi. Mon regard va alors sur chacun d'eux et je leur dis à voix basse que je ne savais pas qui elle était, que je ne la connaissais pas.
Tout le long du cour, je reste dans le silence, qui était-elle, cela j'allais le savoir à la fin du cour, parce que je ne pouvais pas faire cour avec une professeur du même nom que moi, sans savoir qui elle était.
Le cour terminé, je regarde les Serpentard partir, je leur avais dit que j'allais allez lui parler. Ils ne m'ont pas posé de questions mais, ce soir je suis sûr que j'allais être harcelée de ça. Descendant les petits escaliers, j'arrive devant le bureau, attend que tout le monde soit sorti pour dire :
- Professeur Wolf, vous avez le même nom que moi, comment cela se fait-il ?
Croisant les bras, je pensais que ma soeur et moi étions les dernières Wolf depuis la mort de mes parents l'année dernière mais, à ce que je vois, je me suis trompé et cela m'énerve un peu.
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Oh une petite cousine ! Je vois au début cette jeune étudiante qui me pose une question. Je l’écoute attentivement, je me dis qu’il faut bien que je lui réponde. Je souris, je me dis qu’il faut bien que je lui réponde. Je sors de ma poche une photo de mon père de son père et de sa mère ainsi que la mienne. Je ne sais pas si je vais lui montrer ou pas, puis je la range dans ma poche. Je me dis qu’il doit être bien trop tôt pour lui montrer ce genre de choses. Je me dis qu’il faut que je lui donne une explication, je tente de sourire et je lui réponds gentiment. « J’ai mon père qui avait ce nom Wolf lorsqu’il est arrivé dans la réserve amérindienne. Il était de Londres, je sais qu’il a un frère qui est marié à une dame nommée Clawdia. Je ne les ai pas encore vu. Je sais juste qu’ils ont perdu une de leurs filles il y a longtemps. » Je souris et je me demande bien si je vais réussir à m’expliquer comme il le faut. Mais bon, je me dis qu’il faut je reste calme. Je trouve que pour le moment, il est nécessaire que je sache quoi dire. Je souris et je ne sais pas trop quoi dire en plus. Je regarde ma cousine, je comprends qu’il faut bien que je m’adapte à la situation. Je l’observe, elle a les mêmes yeux que mon oncle. De plus, je constate aussi que pour le moment, je ne peux pas trop la bousculer, je sais juste que je dois me justifier pour qu’elle ne soit pas trop perdue. Ensuite, je patiente pour avoir une réponse, je m’assois sur mon siège. Je ne sais pas trop quoi penser, je me dis qu’il faut bien que je sache quoi dire. Je tâte ma photo dans ma poche, elle est petite, on peut avant toute chose essayer de la calmer. Je sors alors cette photo de famille de ma poche. Je la pose devant moi et je dis : « Là il s’agit de mon père et de son frère avec leurs femmes respectives. » Je souris patiemment, je ne sais pas trop quoi penser, je me dis qu’il faut bien que la situation change. Je reprends la photo que je mets dans ma poche. Je souris et je dis gentiment : « Je ne veux pas te faire peur. Je suis juste venue ici pour travailler et retrouver ma cousine. » © Kimiko |
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Oh, une petite cousine !
Mon regard sur elle et les bras croisées, j'attends qu'elle me réponde et au plus vite à vrai dire, car tous les autres de la classe ainsi que ma maison Serpentard sont patient au prochain cour. Voyant la photo qu'elle met ensuite dans sa poche, je la regarde faire et l'écoute enfin répondre à ma question. Quand j'entends sa réponse, je serre les poings. Elle parlait de mes parents à cet instant. Je ne pouvais le croire. Toujours les poings serrés, je lui dis sèchement :
- Et bien c'est deux personnes, vous ne les verrez plus, ils sont décédés il y a un peu plus d'un an... Ma soeur et moi sommes les deux dernières des Wolf.
A la suite de mes paroles, je m'éloigne un peu d'elle pour aller vers la porte, cette situation, était un peu perturbante pour moi. Cette femme était soit disant notre cousine, c'était impossible. La voyant aller à son siège, je la regarde faire et vois à la suite qu'elle pose quelque chose dessus. M'approchant de nouveau, je regarde le papier qu'elle avait posé, c'était une photo. La prenant dans mes mains, je regarde mes parents, c'était impossible. Je pose alors la photo devant elle. Les voir, me brise le coeur.
Mon regard était maintenant froid, je serre les dents et l'écoute de nouveau parler. Retrouver sa cousine... Bien sûr et encore quoi.
- Retrouver votre cousine, ben allez voir Raven alors, ma soeur, parce que moi, ce n'est pas possible, je ne vous connais pas, mes parents m'ont jamais parlé de vous quand il était encore en vie. Alors, pour moi, vous êtes seulement mon professeur.
Je marche alors vers la porte, je voulais partir, tout simplement, m'enfuir même.
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Oh une petite cousine ! « Je ne le savais pas pour vos parents. Je n’ai pas reçu de messages par le hibou postal. » Je la vois aller à la porte, je lui dis patiemment : « Votre oncle mon père fut renié lorsqu’il arriva aux États-Unis pour se marier avec ma mère. C’est sans doute la raison pour laquelle je n’ai pas entendu parler de vous tous. » Je ne sais pas trop comment est-ce qu’elle va réagir, mais bon, je me dis qu’il serait bien que j’essaye de lui répondre. Je réalise qu’il faut bien que je sache comment continuer. Je reste à ma place, je dois dire que pour le moment, je ne dis rien. Je me demande bien ce que je peux lui dire d’autres. En tous les cas, je dis tout simplement : « Je ne vais pas vous harceler soyez en sure toutes les deux. » Je souris, je sais que je peux à tout moment aller ailleurs si l’envie m’en prend. Je ne dis rien, je sais que je dois lui laisser le temps de s’en remettre. Je me dis qu’il faut bien que je trouve des choses à dire ou à faire. Maintenant, je comprends qu’il faut sans doute que je sache comment arranger le tout. Je l’observe doucement, je tente de lui parler : « Je me doute que cela est difficile à comprendre, mais pour le moment, je désire juste avoir un peu de lien avec ma famille. Je ne vous en voudrais pas si vous ne vouliez pas me voir. » Parfois, il faut se faire une raison, je souris, je sais qu’elle veut s’en aller, je lui dis : « Tu peux y aller, je vois bien que tu ne veux pas rester ici. » Mon côté louve me donne pas mal d’indication sur les gens. Je peux sentir leurs émotions, leur rythme cardiaque. En tous les cas, j’espère bien que j’arriverais un jour à les comprendre toutes les deux. Pour le moment, je tiens aussi à essayer de lui laisser de l’espace. © Kimiko |
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